PAUSE KINO est né de la rencontre improbable entre Delphine et Gaspard, réunis autour d’un goût commun pour le décalage et l’impertinence. Ces deux percussionnistes auraient pu être frère et sœur tant la ressemblance est frappante et la complicité évidente. Ensemble, ils composent une musique aux textes tendres ou mélancoliques, oscillant entre chanson ludique, électro et afrobeat.

Après près de quatre années remplies de recherches sonores, d’écritures de textes et de bricolages d’images animées avec les moyens du bord, le duo se donne aujourd’hui les moyens d’enregistrer un premier album composé de 7 chansons accompagnées d’interludes musicales. Cet album sortira à l’automne 2017 sur le label Bloody Mary Records.

Personne ne peut vraiment affirmer que cuisiner à la tronçonneuse nuit à la cuisine moléculaire. Chez les Madams la famille c’est sacré, alors quand quelqu’un a une idée personne ne dit jamais non. L’éternité dans le cerveau d’un adolescent ressemble certainement à ça. Jouer sur tout et n’importe quoi, des sceaux en plastiques, des ceintres, des jouets pour enfants… chaque bruit est une genèse à un morceau de rock pur, délirant, psychédélique. Un son toujours frais qui bastonne nos petites vies qu’on ne voulait pas. Adam and the Madams c’est l’immortalité d’un bouton sur la gueule et de tous les trucs cool qui vont avec.

Nés par hasard, Adam & the Madams ont néanmoins décidé d’exister. Leur 1er album, Death by a million splinters sorti fin 2013, fait parler de lui : Sélection Prix Chorus 2014, Scènes Inrocks Lab, Sélection SFR Jeunes Talents, Sélection Inouïs du printemps de Bourges, Festival Décibulles (67), Foire aux vins de Colmar (68), etc. A&TM, leur deuxième album, est sorti fin 2015.

Après un stand-by d’un an, les trois musiciens étant sur des projets musicaux parallèles, Adam and the Madams revient en force en 2017 avec la sortie d’un nouvel EP, Almost, le 19 mai prochain. EP qui ne sera que les prémices de leur troisième album à paraître à l’automne 2017 sur le label Bloody Mary Records.

Devenir Cochrane..

Comme l’on envoie des fusées dans l’espace en leur assignant des noms de code, Cochrane est le projet satellite d’une nouvelle exploration musicale pour Th. Cladé, fondateur du collectif The Polymorphists (Mulhouse).
Pas de sous-entendu donc, mais 4 titres sortis sur l’EP “Hitched !” début 2017 en mode DIY (do it yourself), et ce sans partage pour la réalisation.
L’enregistrement bénéficie cependant de l’apport du guitariste de The Hook (Hugo Cladé). Juste une histoire d’ADN…
Le CD est publié par Mediapop Records et la version électronique est disponible sur la plupart des plateformes de téléchargement (iTunes,
Amazon, Spotify, Google Play, ..)
Même sans influence particulière ou forcée, la musique de Cochrane se promène surement dans un triangle équilatéral dont les sommets pointent vers trois mages que tout oppose sur partitions. (John Lennon, Ian Mc Culloch et Johnny Cash).

Serait-ce de la Blue Wave ?

Quelle que soit la vague, elle emporte à présent et irrémédiablement l’artiste vers les scènes où tout se met en vie sous l’impulsion d’un quatuor alliant la fougue de la jeunesse à l’expérience des sages.

En scindant son prénom sous forme d’initiales, T/O révèle un goût pour la déconstruction et l’enchevêtrement qui n’a rien de trompeur. Son premier album Ominous Signs n’hésite pas à se rêver en nimbostratus, multipliant les strates sonores et les emboîtant comme des poupées russes. Au travers de compositions où la surprise dévore la norme, où le détournement est l’expression d’une folie maitrisée, T/O s’applique à créer un univers vaporeux et hors du temps. Une pop ensorcelée et arlequine, qui tient tant de la confiserie que de l’acrobatie.