Né de la volonté de laisser une trace des projets accompagnés par plusieurs tourneurs, le label ARTDISTO propose la réalisation des albums de leurs artistes. Il s’agit pour lui de répondre à leur demande de développement de carrière.
ARTDISTO : Label mais aussi éditeur Avec les nouvelles technologies, système de diffusion… le métier d’éditeur change. Sa complémentarité avec celui de tourneur lui permet d’être sur tous les fronts, de fédérer les métiers qui participent au développement de la musique. L’édition permet au label ARTDISTO de développer un rapport très privilégié avec l’auteur des chansons, d’épauler ainsi l’artiste dans la diffusion et la distribution de ses œuvres en proposant des partenariats complémentaires
17 rue de Verdun Malzeville 54220 France
Pur produit du Neuhof – quartier sud de Strasbourg que les anciens surnommaient Sarajevo – Adel est un personnage haut en couleur. Il vit pour son quartier et les jeux vidéos, puis par hasard prend le micro. Ses pairs lui font comprendre que derrière ses yeux amusés se cache un réel talent. Il choisit de leur faire confiance et son premier titre, tourné auprès des siens, devient le premier hymne d’un artiste particulièrement attachant.
Quatuor post-rock nancéien, ANATHEME propose une musique vacillant entre douceur et violence, mélodie et puissance. Inspirées par des groupes tels Mogwaï ou Explosions in the sky, les compositions du groupe lorrain tendent vers une succession de paysages musicaux. Sur scène, Anathème crée une ambiance tantôt intimiste, tantôt nerveuse. Les riffs de guitare posent la base d’une atmosphère entêtante et enivrante, soutenue par une section rythmique inspirée.
Depuis son plus jeune âge, Antoine HLT (né tHabauLT) aime taquiner différentes formes d’expression artistique: écriture, dessin, théâtre… En 2004, il décroche un prix Ecureuil d’or National au concours de la Bande Dessinée scolaire organisé en partenariat avec le festival d’Angoulême. De 2010 à 2017, il publie ses dessins dans quelques revues, dont Le Nouveau Jour J (prix du meilleur journal de ville et de quartier au Concours national de la presse jeune 2014). En 2013 paraît Summer Love, son premier single, suivi de Love is LOL en 2014, édités en maxis CD, premières expériences qui lui permettent d’affirmer ses centres d’intérêts artistiques: écriture, chant, composition, mise en image… Le 13 août 2017 paraît son premier album: Le sens des marches, proposant une identité artistique forte, entre moderne et vintage. Le projet de financement participatif du disque physique est un succès avec 118% de la somme récoltée. En octobre 2017, Antoine reçoit le prix “Poésie en musique” au concours de la SPAF Lorraine. Projet de longue haleine, Le sens des marches est soutenu par différents clips, tels Déclaration, Les grands hommes de l’inconnu, ou Juliette. Un nouvel album est prévu pour le premier trimestre 2020. Le premier extrait, Végé t’as rien, est dévoilé le 9 septembre 2019, suivi par Résistance en novembre. Le financement participatif lancé pour financer le pressage du disque est un succès avec 130% de l’objectif atteints.
Associant le sourire, la légerté et la liberté du troubadour aux jeux de mots et aux traits d’esprit, Arnaud Ribot propose des chansons incisives et sans fioritures. Des anecdotes rafraîchissantes laissent découvrir un univers espiègle, porté par l’humour de textes vifs et colorés, que souligne la rythmique percutante de la guitare. Il s’entoure de Fabrice Kieffer à l’accordéon et Sébastien Greder à la clarinette, dont les phrases musicales répondent au chant dans un jeu de ping-pong aux rebonds imprévisibles. Le tout nous offre une véritable dose de bonne humeur.
Un peu d’Alice, un peu d’Arthur, Alice Arthur est cette femme à double facette. Journaliste le jour, naviguant sur les flots de la culture qu’elle importe dans ses émissions hebdomadaires pour la télévision (viàMirabelle). Artiste la nuit, voguant sur “La Vague”, titre phare de son album “Nuits indigo”. Alice Arthur compose. A ses heures, jamais perdues. La guitare toujours à portée de main. Alice Arthur écrit. Dans des carnets, elle trace la ligne de ses mots, ses états d’âme, ses traversées. Tout ce qui fera texte pour les paroles de ses chansons. Alice Arthur chante. Depuis toujours. A chaque coin de rue. A chaque tournant, de sa vie, de sa route. Route qu’elle trace avec ses deux fidèles complices, le guitariste et ingénieur du son Jean Pascal Boffo (Studio Amper) et le claviériste / programmateur Séraphin Palmeri (Cascadeur) qui signent la réalisation et les arrangements de ses chansons. En 2008, elle sort un premier album, “Etoile moi”, sous le nom d’Alice s’émerveille. On la retrouve alors en 1ère partie de Barbara Carlotti, Richard Gotainer ou Zaza Founier ainsi qu’aux Rencontres d’Astaffort de Francis Cabrel. Depuis, Alice s’est déployée. Ses textes disent ce qu’elle est, la tête dans les étoiles, les pieds ancrés dans le sol. De ses chansons émane “Un air simple”, délicat et nostalgique, qui lui ressemble bien. Parfois, il neige dans la cuisine d’Alice Arthur qui nous parle de la vie comme elle vient. Ses mélodies font ritournelle et nous accompagnent sur les chemins. Chemins sur lesquels l’ont rejointe : – Cascadeur, qui a eu « L’art et la manière » d’apporter une tonalité spectrale et envoûtante au titre – Philippe Kel Joncquel qui a velouté « La Nuit indigo » à la chaleur de sa voix – Le pianiste de jazz Murat Öztürk dont les accords posés sur « Un air simple » invitent au tourbillon – Ou encore Mira Cétii dont la voix entre en vibration pour nous mettre « En accord » En 2019, Alice Arthur s’est produite sur une quinzaine de scènes du Grand Est (1ères parties d’Agnès Jaoui & Suzane, Casino 2000 de Mondorf les Bains (Lu), Altstadtfest à Sarrebruck (DE), Fêtes de la Mirabelle à Metz…) Par sa folie douce elle pimente notre quotidien de plumes et de chapeaux et nous réveille au cœur de ses Nuits indigo.
« Histoires de femme » par Delphine Ribère
Un album réalisé au Studio AMPER avec la complicité de Jean Pascal BOFFO & Séraphin PALMERI. Avec la participation de CASCADEUR, PHILIPPE KEL JONCQUEL, MIRA CÉTII et MURAT ÖZTÜRK !
Hue et à Dia nous transporte dans une traversée sonore à travers les frontières, à travers le temps, dans un mouvement à travers soi. Chants traditionnels et compositions originales forment des tableaux mouvants, colorés, puissants, parfois tourmentés. La voix comme bulle d’air, soupape. Un espace de liberté. Ce spectacle musical met l’accent sur la place du chant dans les actes de la vie quotidienne. En effet, À Hue et à Dia nous invite à lire dans toutes les traditions musicales le quotidien des vies ordinaires dans ce qu’elles ont de plus vivant, de plus vivifiant à offrir. Une invitation à vivre le quotidien sans la routine, l’ordinaire sans l’ennui.
L’histoire du groupe À Hue et à Dia réunit cinq chanteuses autour de chants traditionnels de différents horizons et de leur instrument : la voix. Loin d’une interprétation puriste de ce vaste répertoire, À Hue et à Dia réarrange, s’autorise quelques pas de côté, improvise, toujours au service d’un son d’ensemble qui se veut puissant et singulier. C’est une couleur intemporelle et inédite qui teinte alors les mélodies et porte les textes. Ces langues, les chanteuses d’À Hue et à Dia ne les parlent pas. Pourtant, ces langues inconnues côtoient leurs mélopées sans paroles pour raconter l’universel : les histoires d’amour, le dur labeur, la guerre, la beauté de la vie.
En 2011, les cinq chanteuses se rencontrent autour de l’improvisation : pas de paroles, mais la voix comme vecteur d’émotions et d’énergie. Les circle songs sont un mode d’improvisation qu’elles affectionnent, puisant leur inspiration dans les influences musicales de chacune.
Très vite naît l’envie de mêler improvisations et chants traditionnels. C’est tout d’abord une forte attirance pour la musique des Balkans qui les conduit à travailler en 2013 avec la chanteuse serbe Svetlana Spajic à Belgrade. Elles y approcheront l’énergie et le timbre caractéristiques de ces musiques. C’est ensuite une rencontre avec le musicien malgache Joro Raharinjanahary qui les conduira à élargir leurs horizons musicaux et à aborder d’autres rythmiques, d’autres ambiances. Pour elles, la dimension orale de la transmission de ces chants traditionnels est primordiale : leur répertoire s’étoffe au fil des rencontres.
Des chanteuses issues d’horizons divers Les chanteuses d’À Hue et à Dia ont chacune un bagage musical fort d’expériences variées et de rencontres décisives.
A la voix ou à l’instrument, certaines ont eu un apprentissage classique de la musique, d’autres ont une formation de jazz, ont chanté dans des groupes de reggae, joué dans des groupes de musiques du monde, sont autodidactes… mais toutes ont, un jour, rencontré l’improvisation à la voix et à l’instrument. C’est un intérêt prononcé pour l’improvisation vocale qui les amènera à se rencontrer : le point de départ est là.
Amelie McCandless réveille les esprits d’une nature sauvage et endormie. Fille de l’air, elle susurre au vent ses mélodies résolument folk empreintes de liberté. De sa voix pure et vibrante, elle transmet des messages de paix et d’amour dans un respect de la vie sous toutes ses formes. Sa musique et ses mots sont ancrés dans cette terre où elle puise son inspiration tout en gardant une légèreté aérienne. Au fil des années, l’artiste s’est aguerrie de son expérience de scène ainsi que de la sortie de deux EP en 2013 et 2015. Amelie a sorti son 1er album “The Stranger”, le 11 janvier 2019. Celui-ci allie avec finesse une voix rappelant celle de Dolores O’Riordan des Cranberries et une sensibilité musicale proche de celle du groupe indie-folk Daughter. Dix compositions vivifiantes dont vous ne pourrez plus vous passer!…
1 Route de Marckolsheim Sélestat 67600
Projet fondé entre Strasbourg et Thessaloniki en 2019 par le résident de la Kulture Georges. Il sort sa première cassette sur OSM tapes, le label de sa ville natale et deux autres cassettes suivront d’ici février 2020. A travers ses DJ sets et ses performances LIVE, il délivre une énergie inédite issue de sa passion, mettant les normes du dance-floor en péril grâce à son interactivité avec le public. Du groove à la wave, de l’electro à l’EBM, pour seul but de vous faire vibrer.
AKTHESIS, groupe de death métal mélodique, s’est formé en 2013 à Nancy sous l’impulsion des frères Anh-Cuong et Anh-Quân LÊ, respectivement guitariste/chanteur et bassiste. Rejoints par Gautier MERKLEN (guitare), Christophe KINTZINGER (batterie) et Clément MANENTI (chant death), le groupe a joué en lorraine dans divers clubs et notamment au festival SANONZIKAL 2014 avec BLACK BOMB A et SMASH IT COMBO. Après le départ de Gautier en 2016, Stefan PAVLOVIC a rejoint l’équipe à la guitare. Les membres d’AKTHESIS ont tous plus de 15 ans d’expérience musicale dans de nombreuses formations (MERCYLESS, STONE REMAINS, SKAREKROW, DDFA…). Ils ont tourné le 1er Clip “Drag me away” en 2017. Leur 2ème clip du titre “Nothing” a été réalisé en mars 2020 et leur premier album “Buried Alive” est sorti le 7 mars 2020.
Acacia est un groupe pop / rock / electro strasbourgeois créé par Julien (guitare) et Guillaume (basse). Audrey (chant, clavier) et Étienne (batterie) ont ensuite rejoint la formation début 2018. Nous avons chacun nos influences, et mélangeons les styles dans nos compositions sans chercher à avoir une étiquette en particulier. Après un premier EP “The lantern chronicles” enregistré au Studio Pangos en octobre 2019, et un premier concert au Local en novembre, nous avons hâte de nous produire à nouveau et de vous faire découvrir notre musique sur scène !
Audrey : chant, clavier
Julien : guitare, choeurs, scratch
Guillaume : basse
Etienne : batterie
Strasbourg France
A-P Connection is a french musician, producer duo group. Mostly influenced by the funk and the disco of the 70/80’s. The 2 members, Pierre Bonnet and Antoine Perez were both born in Reims, in France. They both were passionated by funk music. In 2012 they started to play music together.
Quand trois rockeurs blancs-becs s’essaient au zouk, ça ne peut que surprendre. Pourtant Nicolas, Thibault et Julien ont déjà bien fait le tour de la question avec leurs anciennes formations respectives (Colt Silvers, Plus Guest, Electric Suicide Club) et ce coup d’essai n’en est pas complètement un. On y reconnait cette dévotion à la pop, chantée en français avec fraîcheur et légèreté. Formé lors d’un roadtrip dans le sud au printemps 2015, Amoure dessine une pop mulitcolore toute en contrastes. Tour à tour espiègle puis sensuelle, ensoleillée puis vaporeuse. Comme un paradoxe, celui de chanter la plage à Strasbourg. Sans doute parce qu’ils en sont si éloignés, ils se rêvent ces pays chauds, ces azurs infinis, ces transes émerveillées. Quelque part entre la vivacité de Vampire Weekend et les chaloupes d’un François & the Atlas Moutains.
Formation Rock/Hip-Hop, ASK alterne riffs de guitare funkys et agressifs et ambiances travaillées sur lesquels BOY délivre un rap français aussi rythmique qu’unique. Véritable explosion d’énergie scénique, ASK créé un univers musical différent, éclectique et accessible, aux références musicales aussi variées que Limp Bizkit, Placebo, Deftones, RATM, ou encore les Beastie Boys. Formé en 2012, du projet ASK a découlé un premier E.P. “EPZéro”, commercialisé fin 2014. ASK a remporté plusieurs tremplins (Brienon, Jukebox) depuis 2013 et s’est produit sur les scènes de La Niche, Le Chien à plumes, Les Fuseaux (1ère partie de Skip The Use), Le Chaudron, La Cartonnerie de Reims, l’Atheneum de Dijon, et de nombreuses autres…
Fruit d’une amitié à maturité, Alambig tire la quintessence des musiques du monde pour distiller son énergie.
SAVEURS ARTISTIQUES Le pep’s et la volupté de Mélo, la touche féminine du groupe L’exotisme et la fraîcheur de Pierre le Tahitien La note boisée de l’artiste-menuisier « Che » La minéralité et la force de Martin, né en terre africaine Le piquant des influences disco et funk de Jérémy La maturité d’Arnaud, l’ambianceur digital
STYLES MÉTISSÉS Rock… Reggae… Funk… Musique afro… «On n’est pas vraiment dans un style musical bien défini. On en mélange plusieurs pour en retirer le meilleur, un peu comme l’élaboration de l’eau-de-vie. D’où notre nom, Alambig», décrit Martin Lebrun.
THÈMES Le groupe aborde des sujets sérieux comme la guerre et les enfants soldats (“Message de paix“), la situation de la femme et les violences conjugales (“No more !“), la recherche identitaire (“Who I am“), le partage et l’amour (“Combien tu m’aimes“). Ils traitent aussi de sujets plus légers comme la joie et la chance d’être “Vivant“, le plaisir de partager leur passion “Sur une scène“, leur besoin d’évasion avec “Californie“ et l’appauvrissement des liens sociaux à l’aire du 2.0 (“Hey !“). La culture afro et ses valeurs sont aussi magnifiées dans “Bonyeima“ sur le respect de son prochain et “Boobba Merci“, hommage à la convivialité des Africains et leur philosophie de vie.
Alkhimya propose une variante de death métal alliant des riffs de guitare puissants à une rythmique de batterie très soutenue. Le tout est porté par un clavier atmosphérique et un duo de chants, l’un guttural et dynamique, l’autre mélodieux, par l’ajout de voix claire. La combinaison de ces éléments conduit à des morceaux à ambiance et aux structures sophistiquées. Le nom d’Alkhimya vient de la célèbre et très ancienne discipline de transmutation des métaux : l’Alchimie. Le groupe est le résultat d’une fusion entre la recherche d’une philosophie commune et de la vibration symbolique que la musique transmet à chacun. Le groupe, rassemblé dans une alchimie musicale, essaye d’apporter sa pierre à la musique métal et d’en faire un mélange subtil et surprenant, pour en sortir une véritable quintessence. La création du groupe Alkhimya repose sur les cendres de l’ancien groupe de Klem (Guitariste et compositeur) et de Franck (clavier) nommé : 4Century, lui-même né des cendres du groupe Deeprest. 4Century était composé également de David au chant et à la basse, puis de Joël en seconde Guitare. Le style alliait un heavy métal mélodique et dramatique à des textes sensibles. Durant 4 ans, le groupe a su extraire de sa substance 2 productions sous le label Brennus : un EP (Little Angel) et un album complet (Love Prophecy). C’est malheureusement après le départ du chanteur que le groupe a fini par interrompre tout processus créatif. Klem, le compositeur principal du groupe, toujours motivé à écrire et composer, est retourné désormais à la source du métal extrême après un court voyage au sein de styles tels que le black médiéval, le folklorique, le death mélodique, ou même le rock progressif. C’est ainsi qu’il monta un nouveau groupe, dans un style plus soutenu que le précédent. Son ami Franck, toujours prêt à élaborer de nouvelles atmosphères au clavier, accepta rapidement de faire partie de cette aventure musicale. Le noyau du groupe se composa petit à petit suite à la venue du tout dernier membre de 4Century, Joël. Gaël étant le frère de Joël et batteur du groupe de métal Vernes, cherchait un nouveau challenge. Il accepta alors en 2012 de rejoindre le groupe. Désormais au nombre de 4 et possédant un répertoire de compositions, le groupe se décida à choisir son nom : « Alkhimya ». L’alchimie, une philosophie et pratique ancestrale dont il en devient la source principale d’inspiration des textes du groupe. Sur la proposition de tous les membres d’Alkhimya, Laurent, chanteur spécialisé dans le growl et le guttural (ex-membre de Ground-Ø, Anal Juice), intégra le groupe en tant que bassiste et voix additionnelle. Durant 3 années, le groupe s’expérimenta sur scène et enregistra par la suite son tout premier EP de 4 titres. Mixé et masterisé dans le studio « le Chalet » par Sylvain Masure, il sortit fin d’année 2015. Suite à la sortie de l’EP, le groupe signa son premier contrat de licence avec le label grec Sleazy Rider Records. En Septembre 2016, le groupe sortit également son 1er clip autoproduit : « The Fateful Path ». Or, le groupe se sépara de Laurent, en début d’année 2017, du fait de divergences musicales, mais intégra rapidement Florian, ex-bassiste du groupe de deathcore/djent nîmois Epilepsy. Egalement sous l’impulsion de Klem, alors dépourvu d’un soutien au chant, le groupe recruta une chanteuse (Marie-Laure), afin d’apporter une dimension plus en nuances et plus mélodique aux morceaux. En ce début d’année 2018, le groupe maintenant au complet, travail et prépare la sortie de leur 1er album.
L’association Bernard Dimey a été créée en 2000 pour commémorer le 20ème anniversaire de la mort du poète nogentais. ‘’Elle a pour but de promouvoir l’œuvre de Bernard DIMEY, la poésie et la chanson francophones et ce, au moyen de l’organisation de manifestations, réunions, conférences ou toutes autres actions à caractère notamment culturel, et, en général, toutes initiatives pouvant aider à la réalisation de son objet.’’ (art. 3 des statuts). Ainsi est né en 2001 le 1er Festival Bernard Dimey qui aura lieu tous les ans symboliquement autour du 10 mai. Bernard Dimey est donc né en 1931 à NOGENT-en-Bassigny. Il a passé ses premières années et sa scolarité en Haute-Marne, avant de poursuivre ses études à l’Ecole Normale de Troyes. Il a vécu la deuxième moitié de sa vie à Montmartre et est décédé en 1981, à l’âge de 50 ans donc. C’est à Montmartre qu’il a côtoyé les plus grands artistes.
Bernard Dimey, peintre, écrivain, poète, conteur et même acteur.
Nombreux sont ses textes qui ont été (et le sont encore aujourd’hui) mis en musique et chantés par des dizaines d’interprètes tels que Yves Montand, Charles Aznavour, Serge Reggiani, Henri Salvador ou Iggy Pop (Syracuse) , Patachou, Zizi Jeanmaire (Mon truc en plume), Juliette Gréco, Les Frères Jacques, Mouloudji, Jean-Claude Pascal, Michel Simon (Mémère), Raoul de Godewarsvelde (Adieu pour un artiste) et aujourd’hui par Jehan, Emmanuel Depoix, Valérie Mischler, Zaza Bron, Eric Frasiak, Yves Jamait (La salle et la terrasse) et des dizaines d’autres et bien sûr tous les hauts-marnais de tous horizons musicaux du CD Dimey pluriel que l’association a produit en 2015 : Dix watts, Casius Belli, Ya’ourt, Tournelune, Joli Falzar, Cédric Barré, Dorothée Daniel, Bagad Café, Millefeuille, Céline Bardin, Christophe Rémy.
L’activité de l’association aujourd’hui : * c’est le Festival annuel, en principe symboliquement autour du 10 mai. * c’est aussi ce que l’on appelle le festival Hors les dates et hors les murs, avec des soirées-cabaret à Neuilly-sur-Suize et à Châteauvillain, des concerts en partenariat avec d’autres structures et tout autre opportunité comme par exemple la diffusion au Festival ‘’la MJC fait son cinéma’ ’du documentaire co-produit par France 3 Grand Est ‘’Bernard Dimey, poète et pourquoi pas ?’’. * c’est enfin la valorisation du Fonds patrimonial Bernard Dimey, avec l’objectif de préserver, mettre en valeur et exploiter les nombreuses archives originales dont la Ville de Nogent est propriétaire et la Médiathèque Bernard Dimey dépositaire. Ce peut être sous forme de conférence, d’exposition, de création de spectacles ou toutes autres formes de diffusion. L’association noue de nombreux partenariats avec des structures culturelles ou éducatives d’une part (Au Cœur des mots, Noire pointée, La Clef des champs, MJC, Maison du Tourisme, Médiathèque Départementale, Médiathèque Bernard Dimey, Nohmad, école Baudon-Rostand, Collège Dolto, Pôle Technologique Nogent, Nouveau Relax, CE des Forges de Courcelles, etc…) et caritatives d’autres part (les Restos du cœur, Le Secours Populaire, le Secours Catholique, le CCAS Nogent, les Kiwanis) afin de permettre au public défavorisé d’accéder à la culture.
Le Festival Bernard Dimey est un Festival de découverte d’artistes peu ou pas médiatisés. Il s’adresse également au jeune public, ce sont plus de 1000 enfants de plus de 20 écoles qui assistent dorénavant aux concerts qui leur sont dédiés. Ce sont aussi sur Nogent 30 élèves de maternelle et du primaire, 30 adolescents du collège Dolto et 10 étudiants du Pôle technologique qui sont invités gratuitement aux concerts à chacune des soirées dans la grande salle du Centre Culturel Robert Henry de Nogent.
Association Bernard Dimey BP 37 Chaumont 52000 France
Les membres d’Albinoïd Sound System se sont saisis de l’afrobeat de Lagos des années 70 et se sont demandés ce qu’ils pouvaient en faire en tant que musiciens européens, avec les moyens et la culture de notre époque. Le résultat est une musique hybride dansante et implacable, aussi organique que synthétique où les percussions et les cuivres se mêlent aux machines et aux chants scandés pour un résultat qui nous envoie au croisement de la transe africaine et de celle de l’électro.
Les compositions mélangent l’instrumentarium classique de l’afrobeat (guitares, cuivres, percussions, basse électrique…) à la musique électronique. Le projet est centré sur Adam Lanfrey (Adam and the Madams, Dirty Deep, Le Tricycle, etc…) Cyprien Steck (Leopard Da Vinci, The Fat Badgers, Adam and the Madams…) et Guillaume Zenses (Nocto, MoYan…), qui sont généralement accompagnés en live par des cuivres et percussions supplémentaires.
Distribution : Voix, guitares, basse : Adam Lanfrey Machines, claviers, trompette : Cyprien Steck Machines, percussions : Guillaume Zenses
Mise en scène et scénographie : Vanessa Rivelaygue Création lumière : Kévin Bernard Création et régie son : Julien Fritsch
Production : Machette Production Coproduction : Espace Django Reinhardt, Strasbourg Partenaire : Point d’Eau, Ostwald Création soutenu par la Ville de Strasbourg, la Région & la DRAC Grand Est
Références : Selection aux Inouïs du Printemps de bourges 2017 FIMU de Belfort Nancy Jazz Pulsations 2017 1ère partie de Seun Kuti
Sortie du nouvel EP vinyle le 27 sept. 2019 – Edition Limitée Label : Machette Production
Vidéo “Uptight” extrait tiré du nouvel EP : https://www.youtube.com/watch?v=21zTSymsdhc Réalisation : Emilie Fux
AD est un artiste de la scène hip-hop mulhousienne. Parfois engagé tel un Fidel Castro en cocarde, parfois léger tel Brassens chantant la Macarena son univers est un mélange de musique latine sur des textes rappés dans la langue de Molière. Accompagné de ses mariachis, il vous propose un savoureux cocktail qui vous emmènera de Mulhouse à Caracas en passant par Porto Rico !