Alsace
BANDITMINUIT
chanson / Strasbourg
Champagne Ardenne
Lorraine
aucun
Ses créations musicales se démarquent par sa sensibilité. Ayant baigné dans le milieu de la musique classique, il a pu s’imprégner de cette dernière très jeune.
Cependant voulant fuir la profession de ses parents, il reprendra goût à la musique seulement à l’âge de 15 ans lorsqu’il rencontrera son professeur de guitare. Celui-ci lui transmet sa passion pour les grands groupes de rock et les artistes anglo-saxons du siècle dernier, tel que Pink Floyd, Neil young, Genesis, etc.
Sa culture musicale lui vient de ses parents qui écoutent aussi bien Rachmaninov que Peter Gabriel. Il assiste très jeune aux concerts de sa mère et de son père, la musique fait partie entière de sa vie.
À l’âge de 24 ans, il sort son premier album « MINUIT », sous l’identité d’un personnage, une part de lui-même, Banditminuit.
Strasbourg 67000 France
La légende raconte qu’à l’âge de huit ans, le jeune Chester Remington regardait en boucle la chanson du film « Dingo et Max », un « Stand Out » aux airs de Michael Jackson et Prince, mais vus à travers le filtre Disney… Se projetant volontiers dans la peau d’un Dingo showman high-tech et harangueur de foule, l’enfant, tandis que la VHS s’usait, prit conscience de la nécessité d’ouvrir son cœur par la musique.
Comme d’autres construisent des soucoupes volantes, Chester devenu grand, et officiant aujourd’hui derrière les fûts de tant de groupes rémois, prit le temps de construire patiemment sa fusée sonore azimutée, une sorte d’argumentation par l’absurde de ses affinités musicales tentaculaires, et le résultat ne ressemble à aucun autre.
Les influences y sont pourtant nombreuses, on a l’impression de croiser plein de gens qu’on connait, mais avec des têtes bizarres, comme dans un rêve… ou un film d’animation. Ici un rock stoner joué pied au plancher côtoie des chorales survoltées, là Mike Patton s’acoquine avec les guitares surf 60’s, des basses saturées à décoller le papier peint peuvent déboucher sur des envolées psychédéliques rêveuses… Le tout dans une série de morceaux volontiers labyrinthiques, dont les structures à tiroirs tordent le cou aux canons de la pop, sans pour autant s’égarer en chemin et perdre de leur évidence… Le vieux Dingo serait peut-être surpris de voir les répercussions de sa performance chez le petit Chester.
aucun