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Accueil SORTIES DE DISQUES & DE VIDÉOS SORTIES DE VIDÉOS SORTIES DE VIDÉOS EN ALSACE ” How the fuck did she survive the nuclear holocaust?” nouvelle vidéo de BBCC [rock / Strasbourg]02/04/2020SORTIES DE VIDÉOS EN ALSACE communiqué Le nouvel album de BangBangCockCock (BBCC), sextet aux influences multiples (de Broadcast à Talking Heads en passant par Can), est la promesse d’une virée krautrock dans un monde agité où se côtoient armes à feu, ressources humaines, adultère et sandwiches. Un nouvel album de BBCC est aussi la promesse de concerts envoûtants, où planer sur des rythmes syncopés est possible, où danser comme si ton corps était scindé en trois est espéré. BBCC – BANGBANGCOCKCOCK BBCC – BANGBANGCOCKCOCKrock / Strasbourg Courriel principal: simonsimple@me.comINTERNET Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Ok, on choisit pas sa famille. Mais ses influences, oui : Broadcast, Suuns, The Fall, Liars, Swans, Can, Talking Heads. Ca pose un groupe. Avant d’être BangBangCockCock (PanPanCulCul en français), Adrien Moerlen (Adrien Moerlen en français) et certains de ses sbires s’étaient illustrés avec les Crocodiles Inc., c’était en 2011, c’était mieux avant. Une partie des membres a d’ailleurs fait le trajet en soute, d’autres ont débarqué. BBCC a pris corps en 2015, sous la forme d’un sextet (sic) composé d’une basse, d’une guitare, d’un clavier, de chants et de machines pour assurer les playback. BBCC a commis son premier méfait avec le planant et réjouissant Heidentum où il était notamment question de paganisme, d’asphyxie érotique et de licornes. Pour cet album de la maturité, BangBangCockCock a signé chez les gens d’Octobre Tone. Si l’album n’a pas de titre (à ce jour ils ont écarté les options “Deux sashimis sinon rien”, “Album éponyme” et “Papa, maman, papa ?”), on sait déjà qu’il se nourrira des influences kraut, rock, krautrock, progressif, rock, krautrock progressif, psyché, rock psyché, rock psyché progressif, de zouk et de pop. On sait aussi qu’il y sera notamment question de tentacules, de ressources humaines et de licornes. (ndlr : l’album a désormais un nom et c’est “Altered States of Consciousness”.) Et puis, BBCC a ouvert les portes de sa direction artistique au petit génie T/O, pour une association diabolique ouvrant le chant et les champs (sic) de tous les possibles. Offrant un nouvel élan à chaque morceau, T/O a permis à BangCockBangCock de devenir vraiment BBCC. Une mutation salutaire qui a largement contribué à simplifier la production de l’album, à le ramener à sa substantifique moelle ; l’art de la soustraction. Avant la parution de ce nouveau disque, pendant et après aussi, BBCC se voit et se verra sur scène ; soucieux d’une image à géométries variables, amoureux des clips comme on en fait plus et des shows à l’amérindienne, BBCC est la promesse d’un moment hors du temps, à l’heure où l’on estime les temps d’écoute et de lecture.