C’est d’abord une histoire d’amour, du genre de celles qui font mal au ventre. Comme ces souvenirs d’enfance qui devraient nous faire du bien, mais en fait, non. Brisebard, c’est aussi une référence à ce souvenir lointain dont Alex Labart, seul pilote derrière ce nom, s’est servi pour centrer ses influences, qu’elles aillent de la musique de film à la pop des années 60 et 70 de tous les pays, de la library au jazz en passant par le hip-hop, bien entendu. Mais aussi à ses influences cinématographiques comiques, amoureuses comme ce personnage qui va jusqu’à cacher un corps dans une sculpture pour protéger la carrière de sa femme. C’est de tout ce bordel qu’il essaie de tirer quelques mélodies et mots comme pour s’en débarrasser.
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