Accueil ANNUAIRE POP ROCK FOLK ANNUAIRE POP ROCK FOLK Search Directory Afficher toutes les catégoriesACTION CULTURELLEACTION CULTURELLE - ADOLESCENTSACTION CULTURELLE - ADULTESACTION CULTURELLE - JEUNE PUBLICARTISTESBLUESBLUES - ALSACEBLUES - CHAMPAGNE ARDENNEBLUES - LORRAINECHANSONCHANSON - ALSACECHANSON - CHAMPAGNE ARDENNECHANSON - LORRAINEHIP HOPHIP HOP - ALSACEHIP HOP – CHAMPAGNE ARDENNEHIP HOP – LORRAINEJAZZ & MUSIQUES IMPROVISÉESJAZZ & MUSIQUES IMPROVISÉES - ALSACEJAZZ & MUSIQUES IMPROVISÉES - CHAMPAGNE-ARDENNEJAZZ & MUSIQUES IMPROVISÉES - LORRAINEMÉTALMÉTAL - ALSACEMÉTAL - CHAMPAGNE ARDENNEMÉTAL - LORRAINEMUSIQUES DU MONDEMUSIQUES DU MONDE - ALSACEMUSIQUES DU MONDE - CHAMPAGNE ARDENNEMUSIQUES DU MONDE - LORRAINEMUSIQUES ÉLECTRONIQUESMUSIQUES ÉLECTRONIQUES - ALSACEMUSIQUES ÉLECTRONIQUES - CHAMPAGNE ARDENNEMUSIQUES ÉLECTRONIQUES - LORRAINEPOP ROCK FOLKPOP ROCK FOLK - ALSACEPOP ROCK FOLK - CHAMPAGNE ARDENNEPOP ROCK FOLK - LORRAINEPUNK HARDCOREPUNK HARDCORE - ALSACEPUNK HARDCORE - CHAMPAGNE ARDENNEPUNK HARDCORE - LORRAINEREGGAE RAGGA SKAREGGAE RAGGA SKA - ALSACEREGGAE RAGGA SKA - CHAMPAGNE ARDENNEREGGAE RAGGA SKA - LORRAINESOUL FUNKSOUL FUNK - ALSACESOUL FUNK - CHAMPAGNE ARDENNESOUL FUNK - LORRAINECONSERVATOIRES & ÉCOLES DE MUSIQUEDISQUAIREENSEIGNEMENT ARTISTIQUEFESTIVALSFESTIVALS - ALSACEFESTIVALS - CHAMPAGNE ARDENNEFESTIVALS - LORRAINELIEUXLOCAUX DE RÉPÉTITIONSLOCAUX DE RÉPÉTITIONS - ALSACELOCAUX DE RÉPÉTITIONS - CHAMPAGNE ARDENNELOCAUX DE RÉPÉTITIONS - LORRAINESALLES, CAFÉS CONCERT, CLUBSSALLES, CAFÉS CONCERT, CLUBS - ALSACESALLES, CAFÉS CONCERT, CLUBS - CHAMPAGNE ARDENNESALLES, CAFÉS CONCERT, CLUBS - LORRAINESTUDIOS D'ENREGISTREMENTSTUDIOS D'ENREGISTREMENT - ALSACESTUDIOS D'ENREGISTREMENT - CHAMPAGNE ARDENNESTUDIOS D'ENREGISTREMENT - LORRAINEMEMBREREGIONALSACECHAMPAGNE ARDENNELORRAINERÉSIDENCE & AIDE À LA CRÉATIONSTRUCTURESCONSEIL, RESSOURCESCONSEIL, RESSOURCES - ALSACECONSEIL, RESSOURCES - CHAMPAGNE ARDENNECONSEIL, RESSOURCES - LORRAINEÉDITEURÉDITEUR - ALSACEÉDITEUR - CHAMPAGNE ARDENNEÉDITEUR - LORRAINEFANZINES, WEBZINES, WEB RADIOSFANZINES, WEBZINES, WEB RADIOS - ALSACEFANZINES, WEBZINES, WEB RADIOS - CHAMPAGNE ARDENNEFANZINES, WEBZINES, WEB RADIOS - LORRAINEFEDERATIONS, COLLECTIFSFEDERATIONS, COLLECTIFS - ALSACEFEDERATIONS, COLLECTIFS - CHAMPAGNE ARDENNEFEDERATIONS, COLLECTIFS - LORRAINELABELSLABELS - ALSACELABELS - CHAMPAGNE ARDENNELABELS - LORRAINELOCATIONS DE MATÉRIELSLOCATION DE MATÉRIEL - ALSACELOCATION DE MATÉRIEL - CHAMPAGNE ARDENNELOCATION DE MATÉRIEL - LORRAINEMANAGEMENT, ACCOMPAGNEMENTMANAGEMENT, ACCOMPAGNEMENT - ALSACEMANAGEMENT, ACCOMPAGNEMENT - CHAMPAGNE ARDENNEMANAGEMENT, ACCOMPAGNEMENT - LORRAINEORGANISATEURS DE CONCERTORGANISATEURS DE CONCERTS - ALSACEORGANISATEURS DE CONCERTS - CHAMPAGNE ARDENNEORGANISATEURS DE CONCERTS - LORRAINEPRESTATIONS DE SERVICEPRESTATIONS DE SERVICE - ALSACEPRESTATIONS DE SERVICE - CHAMPAGNE ARDENNEPRESTATIONS DE SERVICE - LORRAINETOURNEURSTOURNEURS - ALSACETOURNEURS - CHAMPAGNE ARDENNETOURNEURS - LORRAINEUncategorized # - 1 2 3 4 9 A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Æ Ø VINCENT ECKERT VINCENT ECKERTrock/ Strasbourg Courriel principal: *protected email*INTERNET Site internet: www.vincenteckert.com Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Vincent ECKERT, auteur, compositeur, interprète strasbourgeois poursuit son chemin musical et creuse son sillon dans la chanson française, guidé par des valeurs de sincérité, de sensibilité et d’indépendance. Un répertoire polymorphe, entre ballades fougueuses et arrangements plus intimistes et acoustiques, présenté par des musiciens multiinstrumentistes aux influences allant du rock à la musique ethnique en passant par la chanson et la poésie. Les textes sont sensibles, réalistes et mélancoliques mais jamais désespérés. Le parcours de Vincent ECKERT est jalonné de belles réussites scéniques (les Francofolies de la Rochelle, des tournées en Bosnie, en Bretagne et dans le Nord, le Printemps de Bourges…), artistiques (deux albums et deux 6 titres) et humaines mais aussi de doutes et dedifficultés qui, au final, donnent de la force et de la générosité à l’artiste et à son répertoire. PAUWELS PAUWELSnoise / Mulhouse – Strasbourg Site internet: www.pauwelsmusic.com Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Choisir un nom d’écrivain pour une musique sans paroles, sans mots, suscite sa part de mystère. Cet apparent paradoxe prend son sens à travers la configuration particulière de Pauwels : un attirail de machines au cœur du rythme, auxquelles s’adjoignent une basse et deux guitares qui tissent un récit, dessinent des paysages. Une construction musicale ésotérique, échafaudée pour être déconstruite. Une communion avec le public, dans une recherche de transe partagée. Pauwels cultive l’inattendu. PAUWELS BLACK BONES BLACK BONESpop / Reims Courriel principal: *protected email*INTERNET Courriel principal: *protected email*INTERNET Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation On pourrait vous renvoyer à Mid90s, le film de Jonah Hill dans lequel un jeune kid de la banlieue de Los Angeles trace son chemin initiatique en intégrant une clique de skateurs hirsutes au mitan des années 90. On y entend la face B du Wave of Mutilation de Pixies, une version jouée au ralenti à laquelle on a accolé (UK Surf) pour la distinguer du titre plus rapide et cogneur présent sur l’album Doolittle. Le parallèle peut sembler hasardeux, mais la trajectoire d’Anthonin Ternant, éminence grise du groupe Black Bones, est aussi une affaire de cinoche, de bande et de rock alternatif. La scène se passe au début des années 90, dans cette bonne vieille ville de Reims. Il se souvient : “Au collège, comme beaucoup de jeunes, je faisais du skate. En arrivant au lycée, mes potes se sont mis à jouer de la guitare et j’ai suivi pour rester dans le groupe. C’était les débuts de Lenny Kravitz, du retour de Jimi Hendrix et du film d’Oliver Stone sur les Doors. Moi, les Doors, je m’en foutais. On sortait des années 80, de Guns N’ Roses, tout ça et je ne me voyais pas là-dedans. Et puis on est allé voir le film Albert Souffre, de Bruno Nuytten, au cinéma. Toute la B.O, c’était les Pixies. Une musique que j’avais l’impression de connaître depuis toujours, qui me parlait. J’ai toujours su que je ne serai jamais ni Tony Hawk ni Slash. Y’avait un truc méga simple, t’avais l’impression que c’était super facile de faire de la musique”. Galvanisé, il monte un premier groupe ; il s’appellera New Deal, comme la marque de skateboard. A l’époque, Anthonin glande pas mal. Le type est un créatif, au lycée on le retrouve dans une section spécialisée en arts appliqués, puis à l’Ecole Supérieure d’Art et de Design de Reims quelques années plus tard, avant de filer dans une fac d’art, à Amiens. Il rembobine : “Pendant toute cette période, aucun groupe ne sortait de Reims. Ecouter Pavement, Dinosaur Jr et Sonic Youth, c’était comme écouter des trucs qui venaient d’une autre planète. Ça semblait inaccessible. Mais c’était aussi l’époque du lo-fi, donc avec un quatre pistes, tu pouvais sortir des trucs à la Daniel Johnston”. Quelques années de glande plus tard, Anthonin Ternant se retrouve soudeur de câble au studio Césaré, après une formation de technicien du spectacle effectuée à la Cartonnerie, l’iconique salle de concert de Reims. Même s’il a ciré les bancs des écoles d’art (pas que ce soit une vocation, c’est juste qu’il n’était pas mauvais dans cette discipline, nous dira-t-il), l’idée qui lui trotte dans la tête, c’est de devenir musicien. Ça tombe bien, la ville semble se réveiller de ce côté-là. En 2009, un certain Pierre-Alexandre Busson, plus connu sous le nom de Yuksek, sort son premier album. Derrière lui, une floppée de talents s’apprêtent à faire main basse sur la pop made in France, dont un certain Guillaume Brière (The Shoes), sous l’impulsion duquel sera monté les Bewitched Hands, dont Anthonin sera le co-leader aux côtés de Benjamin Pinard : “Le truc, c’était de réunir des musiciens de Reims qui n’avaient jamais joué ensemble. Il y a toujours eu des projets à un ou deux, mais personne n’avait vraiment joué ensemble”, confie Anthonin. Bien vu ! Le groupe, bénéficiant du rayonnement international d’un Phoenix qui vient de remporter un Grammy, va remettre la pop française sur les rails, mais dans la langue de Lou Barlow cette fois. Birds & Drums, le premier album des Bewitched Hands sort en 2011 et c’est un carton. Vampiric Way, le suivant, ne connaîtra pas le même succès. La pop, aussi insatiable et imprévisible qu’elle a toujours pu l’être, s’est francisée sous les coups de butoir synthétiques d’un Lescop et des claviers acides de La Femme. À la suite de cet échec, la clique rémoise planche sur un nouvel album qui ne sortira jamais. La gueule de bois après le split du groupe sera de courte durée pour Anthonin, qui manigance déjà quelque chose. Un projet dont il serait le grand orchestrateur et dans lequel il pourra insuffler les idées les plus saugrenues traversant sa caboche de fan de Ween, duo foutraque et prolifique formé en Pennsylvanie par Dean et Gene Ween, préfigurant les dingueries tous azimuts de Black Bones : “j’aimais les groupes qui faisaient de belles mélodies, des trucs très mélancolique, et qui en même temps pouvaient avoir le sens de l’humour. Prendre de la distance par rapport à l’histoire de la pop et s’en moquer. Ce qui est vachement le cas de Ween, qui est capable de faire un morceau sur le SIDA sur fond de musique de fête foraine !”. Vingt ans après le suicide de Kurt Cobain, en avril 2014, les Bewitched Hands mettaient la clef sous la porte. L’été suivant, Anthonin avait déjà formé son nouveau groupe et à la fin de l’année Black Bones claquait son premier concert sur une scène lilloise. En 2017 sortait Kili Kili, un premier album qui, comme le souligne Ternant, ressemble à la direction que son groupe précédent aurait pu prendre. Comme une sorte de compilation avec un pied dans le passé et l’autre dans le futur. Réunie autour d’Anthonin, on retrouve une équipe du crue, constituée en plein milieu du vivier rémois. En plus de l’ex-Bewitched Hands et co-frontwoman Marianne Mérillon, on croise à la batterie Odilon Horman, musicien inspiré, également aux manettes du projet psych-garage Chester Remington : “le meilleur truc sorti de Reims depuis longtemps”, nous rencarde-t-il. Et, alternant la basse et le clavier selon les morceaux, Ludovic Caqué et Samuel Allain, rencontré alors qu’il faisait le régisseur aux studios Césaré. Les conditions pour faire partie du groupe ? Être présent, savoir utiliser son instrument et, surtout, s’amuser. Au début, cette joyeuse clique la joue équipe de baseball en teddy façon college US, sur une scène flanquée de têtes de mort et casiers de vestiaire d’université américaine, donnant à Black Bones des allures de gang mexicain, éclairé par une lumière noire. Kili Kili à peine sortie, Ternant et ses luchadores retournent en studio. Dans le prolongement de l’esthétique mystique, médiévale pop et fluo de Wolf Under the Moon et Angel (projets parallèles de Ternant), la bande file à deux reprises dans un ancien couvent transformé en résidence pour artistes, à quelques encablures de Reims, dans la petite localité de Saint-Erme-Outre-et-Ramecourt. “Pour la petite histoire, il paraît que ce lieu hébergeait une secte dans les années 80. T’as un peu l’impression d’être dans un asile de film d’horreur, rien n’est rénové, tout est hyper brut. Il y a des escaliers et des pièces où il semble que personne n’ait jamais mis les pieds”, rigole-t-il. Certains morceaux mis en boîte par le groupe durant cette période ont été écrits durant l’été 2016, d’autres sont plus récents. Pour retranscrire l’atmosphère sépulcrale du lieu, Anthonin met la main sur une pédale d’effet, la POG, qui, combinée à un space echo et un chorus de guitare flanqué par-dessus, offre au disque un son ample et large. Comme s’il était joué dans une cathédrale. Une sorte fil rouge en forme de mantra psalmodié, pour une technique bricolée dans la plus pure tradition DIY, conférant à Ghosts & Voices cette aura fantasmatique si représentative de Black Bones. Pour se faire une idée plus précise du procédé, on peut se passer l’intro de I’m a Believer, où la combinaison pédale-chorus-clavier fonctionne à merveille. Dead Skies, quant à lui, convoque la mélancolie sur des airs enjoués, marque de fabrique des chansons signées Ternant, quand Creepy Rain et sa guitare ska, se veut sautillante. Une guitare ska ? “Ouais, je sais pas pourquoi, c’est vrai que ça revient souvent alors que je déteste ça. La filiation est peut-être à chercher du côté des références hispaniques des Pixies”, rigole Anthonin. On en revient toujours aux fondamentaux. BLACK BONES IPPON IPPONrock / Nancy Téléphone artistes: 06 85 07 08 93home Courriel principal: *protected email*INTERNET Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Depuis sa formation en 2017, le trio Ippon s’est lancé dans une quête sonore où réverbération, synthétiseurs, guitares saturées et boîtes à rythme fusionnent en une masse sonore exploratoire. Alors que les rythmiques empruntent l’autoroute du krautrock allemand, les guitares attestent quant à elles de la survivance d’une musique tribale, brute et contemporaine. Des cristaux scintillent, de la lumière jaillit des costumes, et le spectateur entre dans une danse aux couleurs dorées. ROMAIN MULLER ROMAIN MULLERpop / Metz Courriel principal: *protected email*INTERNET Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Romain Muller tient le pari de conjuguer au présent ses influences synthé-pop et son amour pour la chanson française, alliant ses ritournelles électroniques à des textes où la mélancolie affleure. Murmurés d’une voix blanche, ils convoquent des images contrastées et évoquent tantôt ses nuits d’ivresse et vertiges intérieurs, tantôt des souvenirs plus solaires. Il dessine une pop en clair-obscur, intime et entêtante, profondément sensible et pourtant prête à faire danser. MATT ELLIOTT MATT ELLIOTTfolk / Nancy Site internet: www.thirdeyefoundation.com Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Il y a les disques empathiques, les amis et puis il y a les autres… Peu de choses les séparent, un « je ne sais quoi », un « pas grand-chose », un « presque rien » qui en font ou des objets dérisoires ou des œuvres vitales. La musique de Matt Elliott malgré ou plutôt grâce à son désespoir sans cynisme ne nous tend jamais un miroir moraliste, elle installe au contraire un dialogue compassionnel avec son auditeur comme le rythme de deux pas qui se synchronise pour ne plus faire qu’un. En 2016, Matt Elliott signait son septième album solo de ce titre sibyllin, ‘The Calm Before’, ni vraiment menaçant, ni vraiment apaisé … le calme avant quoi ? Avant la tempête assurément mais peut-être aussi avant l’immense disque, l’immédiatement classique que l’on sentait poindre depuis longtemps dans la discographie bicéphale du bristolien aussi bien sous son seul nom que sous son alias électronique Third Eye Foundation. ‘Little Lost Soul’ (2000), déjà, dans son élégance des détails et des perspectives, laissait présager le chef d’œuvre en germe chez l’anglais. ‘The Mess We Made’ (2003), le premier disque solo de Matt Elliott terminait d’installer un univers fuyant vers des horizons balkaniques au désespoir viscéral. Avec la trilogie Songs, il mettait à distance la dimension électronique dans son travail pour continuer de travailler une écriture blanche, sèche et lucide. ‘The Broken Man’ (2012), toutes en déchirures et en longues complaintes parfois portées par le piano de Katia Labèque, décline de nouvelles nuances de gris. Ce disque est aussi une rencontre, le début d’une collaboration avec le producteur, arrangeur et multi-instrumentiste David Chalmin (‘La Terre Invisible’) qui ne quittera plus le bristolien, prolongeant cet échange sur ‘Only Myocardial Infection Can Break Your Heart’ (2013) et ‘The Calm Before’ (2016). C’est peut-être Stéphane Grégoire, le patron du label Ici D’Ailleurs qui accompagne Matt Elliott depuis 2005 qui en parle le mieux « Ce nouveau disque de Matt est sans aucun doute son meilleur album à ce jour, un disque qui le fait entrer dans une autre dimension et où Il s’affirme pleinement en songwriter et chanteur dans cette catégorie d’artistes comme Bill Callahan, Leonard Cohen ou Johnny Cash.» Les autres disques de Matt Elliott étaient tous comme des liens empathiques tendus vers l’autre, ‘Farewell To All We Know’ est un classique immédiat appuyé par le piano sensible et les arrangements superbes de David Chalmin, le violoncelle sensible de Gaspar Claus, la basse subtile de Jeff Hallam (croisé aux côtés de Dominique A ou John Parish). Tout relève ici d’une alchimie évidente, pourtant on retrouve les climats et les décors habituels de Matt Elliott, ce même folk des pays de l’Est, ces longues chansons qui prennent le temps de s’installer dans la durée. Tout est pareil et en même temps, tout est transfiguré. En asséchant sa musique, en épurant et en ramassant le propos, Matt Elliott n’en est que plus délicat, ni vraiment chétif ni vraiment recroquevillé sur lui-même, il devient un air vital qui vibre et qui se déploie. ‘Farewell To All We Know’ en ouverture se déchire entre la peur du lendemain, l’inéluctable et l’espoir d’un avenir dans une tension dramatique permanente et progressive, sa guitare hispanique, le piano impressionniste et la voix de Matt au bord du murmure. Une élégie funèbre aux crépuscules qui n’en finissent pas de mourir et aux aubes que l’on aimerait voir poindre. Dans ‘Farewell To All We Know’, Matt Elliott ne cesse de faire des allers-retours entre des envies de se confronter au monde ou de s’en protéger. ‘Hating The Player, Hating The Game’ pose un constat lucide sur nos quotidiens un peu mornes, ce droit à s’extraire du jeu, à ne plus vouloir en être. Matt Elliott est tendre mais en même temps, il n’épargne personne et en particulier lui-même, ‘Aboulia’ parle de la fatigue de vivre, de la mort qui s’annonce quand ‘Crisis Apparition’ dit qu’après le chaos, il y a toujours un temps pour la reconstruction. C’est une déambulation qui peut tout d’abord paraître éprouvante dans les ruines d’Alep avec la lente dilution de la mélodie en un drone halluciné. Pourtant l’odeur des grands incendies finit toujours par s’estomper et la terre se régénère toujours, l’instinct de vie est plus fort que le froid du vent semble suggérer le britannique. Matt Elliott ne chante jamais des certitudes, il leur préfère les peut-être. Peut-être, le pire est-il passé ? Peut-être… La tempête est peut-être passée et a tout dévasté, il ne reste plus qu’à reconstruire et à vivre. ‘Farewell To All We Know’ nous montre le chemin qui reste encore à faire, il marche à côté de vous, tout à côté, il est l’ami qui ne vous épargne pas, ce que sont toujours les vrais amis. THE ONE ARMED MAN THE ONE ARMED MANrock / Strasbourg Téléphone artistes: 06 71 65 09 38home Courriel principal: *protected email*INTERNET Courriel principal: *protected email*INTERNET Courriel principal: *protected email*INTERNET Site internet: www.toammusic.com Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Il n’a pas de nom, juste un surnom, The one armed man. Le manchot. Manchot, mais as du manche, musicien mystérieux tout droit sorti d’ un film de David Lynch. Il parcourt son Amérique, de bouges en clubs de strip-tease, pour jouer ses chansons. D’une ville à l’autre, à pied, en stop ou en bus, quand le concert de la veille lui a laissé quelques dollars, il traverse le pays et en transforme ces histoires d’amours déçues et de vies minables en bravoures blues et folk. Fils spirituel de Tom Waits, il a préféré son âme à la gloire facile. Ami, si The one armed man passe par chez toi, prépare le whisky et les amplis, et laisse faire la magie.” VENUS IN THE DUST VENUS IN THE DUSTrock / Metz Courriel principal: *protected email*INTERNET Site internet: www.venusdust.wixsite.com Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Dans le cratère d’un volcan actif, balancer les références les plus pointues et obscures possibles. Laisser le magma accomplir les fusions au hasard, regarder les fulgurances affleurer à la surface en bulles de lave compactes, voir comme elles explosent pour créer d’autres voies, d’autres schémas inédits. Apprendre à distinguer dans les vapeurs de souffre la voix et les danses de l’ange déchu, par choix ou par principe ; puis se laisser surprendre par l’autre chant, celui empli de tristesse et de colère froide. Se laisser emporter par le spectacle des deux voix qui s’enlacent et s’éloignent, qui s’affrontent et s’épousent en même temps. Prendre du recul, embrasser du regard et de l’ouïe la scène dans son ensemble : la voici qui émerge l’hydre à trois têtes faite de lumière noire, la Venus poussiéreuse chaotique et flamboyante. Les bras cerclés de noir, armés de guitares ayant subi les pires tourments, Venus in the Dust vous emmenera dans ces régions de vous mêmes que vous ne voulez pas voir, et vous en redemanderez. GLIDE ON THE BLACK CLOUD GLIDE ON THE BLACK CLOUDdark electro rock / Colmar Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Né de la fusion de nic-U et Twelve Diversions, GLIDE ON THE BLACK CLOUD sort son 1er album chez NEWDEAL MUSIC le 1er novembre 2019. Produit par David Husser, l’univers dark-electro-rock du trio semble arriver à pleine maturité. LO-BAU LO-BAUrock-wave / Lutzelbourg Courriel principal: *protected email*INTERNET Site internet: www.lo-bau.art Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation De ferments électriques en mélodies synthétiques, il aura fallu un peu de temps à lo-bau pour se bâtir, aux rythmes de Vincent Fallacara (A Sordid Puppy, Torso, Lüderitz) et Antoine Villard (Triptonic, L.I.P.S, Secretive). Comme un modeste Bauhaus sonore, comme un hommage à l’illustre ancêtre napoléonien, héros du pays, mais à la manière de notre époque, lo-bau oscille entre révolte et nihilisme, entre rage et plénitude. DAS WHIZZZ DAS WHIZZZrock / Metz – Verdun Téléphone artistes: *protected email*home Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Das WhizzZ, trio bancal jouant une sorte de garage primal et direct sans solo ni trompette, délivre ses chansons bricolées en angliche ou en français. Larsen, delays et fuzz comme s’il en pleuvait sur la Valley Of Lorraine. Une vraie partouze rock à vous filer la Cramps! à voir live bientôt dans vos contrées: Today la Meuse, Tomorrow the World! BBCC – BANGBANGCOCKCOCK BBCC – BANGBANGCOCKCOCKrock / Strasbourg Courriel principal: *protected email*INTERNET Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Ok, on choisit pas sa famille. Mais ses influences, oui : Broadcast, Suuns, The Fall, Liars, Swans, Can, Talking Heads. Ca pose un groupe. Avant d’être BangBangCockCock (PanPanCulCul en français), Adrien Moerlen (Adrien Moerlen en français) et certains de ses sbires s’étaient illustrés avec les Crocodiles Inc., c’était en 2011, c’était mieux avant. Une partie des membres a d’ailleurs fait le trajet en soute, d’autres ont débarqué. BBCC a pris corps en 2015, sous la forme d’un sextet (sic) composé d’une basse, d’une guitare, d’un clavier, de chants et de machines pour assurer les playback. BBCC a commis son premier méfait avec le planant et réjouissant Heidentum où il était notamment question de paganisme, d’asphyxie érotique et de licornes. Pour cet album de la maturité, BangBangCockCock a signé chez les gens d’Octobre Tone. Si l’album n’a pas de titre (à ce jour ils ont écarté les options “Deux sashimis sinon rien”, “Album éponyme” et “Papa, maman, papa ?”), on sait déjà qu’il se nourrira des influences kraut, rock, krautrock, progressif, rock, krautrock progressif, psyché, rock psyché, rock psyché progressif, de zouk et de pop. On sait aussi qu’il y sera notamment question de tentacules, de ressources humaines et de licornes. (ndlr : l’album a désormais un nom et c’est “Altered States of Consciousness”.) Et puis, BBCC a ouvert les portes de sa direction artistique au petit génie T/O, pour une association diabolique ouvrant le chant et les champs (sic) de tous les possibles. Offrant un nouvel élan à chaque morceau, T/O a permis à BangCockBangCock de devenir vraiment BBCC. Une mutation salutaire qui a largement contribué à simplifier la production de l’album, à le ramener à sa substantifique moelle ; l’art de la soustraction. Avant la parution de ce nouveau disque, pendant et après aussi, BBCC se voit et se verra sur scène ; soucieux d’une image à géométries variables, amoureux des clips comme on en fait plus et des shows à l’amérindienne, BBCC est la promesse d’un moment hors du temps, à l’heure où l’on estime les temps d’écoute et de lecture. THE YOKEL THE YOKELpop folk / Metz Courriel principal: *protected email*INTERNET Site internet: www.theyokel.fr/ Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Avec son premier album, ‘Here comes the wild’, sorti en septembre 2017, The Yokel est parvenu à mettre en musique ce qui représente pour ses membres un idéal de vie. Le partage, les rencontres, et l’envie de repousser toujours plus loin l’horizon sont autant de dénominateurs communs à la musique des huit membres du combo originaire de l’Est de la France. Savamment orchestrée autour du folk et du rock, elle exprime toute sa richesse sur scène où l’énergie du groupe transpire littéralement. Des prestations déjà remarquées aux quatre coins du pays, comme au festival du Bout du monde, au Cabaret Vert, au Jardin du Michel, ou encore au Nancy Jazz Pulsations… Actuellement, The Yokel débute l’enregistrement de leur second album, prévu pour 2020. Un album plus mature, enrichi par l’amitié, les concerts et les petites choses de la vie. INSTASE INSTASEpop / Metz Courriel principal: *protected email*INTERNET Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation INSTASE est un quintette proposant une pop hybride aux accents folk et aux tendances progressives. Puisant ses inspirations parmi d’autres hybrides telles que RADIOHEAD, SON LUX ou ARCADE FIRE, INSTASE aime fondre les genres au service de compositions riches et sensibles, en quête d’un instant de suspension. Offrant une exploration de la psyché et de la condition humaine, chacune des chansons du groupe est une invitation extravertie à l’introspection. HANGING GARDENS HANGING GARDENSrock / Metz Contact: Loïc VILAN Téléphone artistes: 0766352022home Courriel principal: *protected email*INTERNET Courriel principal: *protected email*INTERNET Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Duo né en 2014 et composé de Nadia B. pour les vocalises théâtrales et de Loïc V. pour les instrumentales, la guitare, la basse, autres bruits et grincements…. Le groupe est mu par la même envie d’électrifier des textes alliant poésie noire et sombres histoires de vie, entre nuages planants et couloirs caverneux, frôlant la corde sensible de l’émotion et de la mélancolie. “Le gros point fort qui se dégage de Hanging Gardens, c’est vraiment l’ambiance qu’ils imposent sur scène, grâce aux facultés théatrales de Nadia, qui usait déjà bien avant ses semelles sur les planches, et grâce au travail sonore de la guitare et des bandes sons de Loïc qui complètent de façon cohérente l’univers textuel sombre de la chanteuse. Il y a des passages ou l’ensemble peut procurer une sorte de malaise au corps ou à l’esprit et c’est selon moi tout l’intérêt d’un tel projet musical. Donc s’ils passent dans le coin, n’hésitez pas à aller à leur rencontre !” LISA LÉONNE LISA LÉONNEpop / Strasbourg Courriel principal: *protected email*INTERNET Site internet: www.lisaleonne.com Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation LISA LÉONNE est un groupe de pop strasbourgeois formé en 2018 constitué de 3 membres d’une même famille. Des mélodies subtiles se dégagent très vite d’une atmosphère aérienne et cristalline. -ii- -ii-dark pop / Nancy Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Deux éléments, une voix, une guitare, un son. Deux bougies posées sur un sol de marbre froid. Une lueur étouffée par l’obscurité. Deux yeux tournés vers l’abîme. Une contemplation désenchantée. C’est la rencontre entre le tranchant de l’acier et la douceur d’un chant aux allures de prière. Un duo où une guitare écorchée vient envelopper de son drapé gothique une voix claire et puissante, perçant de sa lumière les ténèbres qui l’entourent. Formé en 2017, ii est un duo dark pop issu des caves de Nancy. C’est un rituel noir et froid balançant entre atmosphères shoegaze intenses et hymnes sensuels. Le son vibre en une chapelle de rythmes électroniques et de riffs de guitare tranchants aux accents postrock. CHURCHMAN CHURCHMANlo-fi folk blues / Strasbourg Contact: Stephane Kirchherr Téléphone artistes: 0770043215home Courriel principal: *protected email*INTERNET Site internet: www.bluebearrecords.fr/churchman Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Avec un ballotin rempli de compositions jamais achevées, mêlées à d’anciens et obscurs morceaux déterrés des miasmes des vieux songbooks oubliés, Churchman – en friche constante – est un ferrailleur qui taille ce qu’il appelle du « Lo-fi folk blues odd time signature unfinished tin pan alley jazz songs » . Multi instrumentiste curieux il peut, seul avec une guitare, accompagné des musiciens qu’il rencontre sur sa route ou entouré d’instruments étranges, chanter ses personnages foutraques. Un Sinatra déglingué qui descend des bourbons avec les Beach Boys pendant que Hunter S Thompson écrit un article sur Charley Patton sur sa Remington portative. La ou Tom Waits hante chaque note, Churchman s’en met plein les mains et fait vivre à ses compostions plusieurs vies, dans plusieurs langages et dans plusieurs univers, à l’image de sa vie personnelle de forain urbain entre l’Angleterre, les États-Unis et la France. Anciennement frontman et compositeur du groupe de blues rock Black Cat Crossin’ qui a ouvert pour des artistes tels que Fred Chapelier, Ana Popovic ou encore Eric Gales et plusieurs fois finaliste de tremplin nationaux, Churchman vient avec un projet libre, une grande expérience de la scène, une voix puissante et des compositions originales ou l’improvisation garde une place importante. STATION SOFA STATION SOFArock / Metz Téléphone artistes: 06 52 89 40 19home Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Sophie Furfari, issue d’un parcours atypique entre la rue et le C.D.N. arts de la scène à Bordeaux chantait ses poésies intimes sur sa grat’ bancale dans…ben heu les cimetières!(“car c’est plutôt calme”). Après plusieurs collaborations musicales, elle connecte, en mai 2015 Fabien Pilard, cogérant du studio d’enregistrement l’Usine, multi-instrumentiste, interprète, compositeur, réal et membre des groupes Venus dust, Manuel Etienne, Sick but not dead…. Ensemble, Sô et Fa, sur un sofa en labo, donnent naissance au projet Station SôFa. AMELIE MCCANDLESS AMELIE MCCANDLESSfolk / Reims Courriel principal: *protected email*INTERNET Site internet: www.ameliemccandless.com Affiche la biographie / présentation Biographie / présentation Amelie McCandless réveille les esprits d’une nature sauvage et endormie. Fille de l’air, elle susurre au vent ses mélodies résolument folk empreintes de liberté. De sa voix pure et vibrante, elle transmet des messages de paix et d’amour dans un respect de la vie sous toutes ses formes. Sa musique et ses mots sont ancrés dans cette terre où elle puise son inspiration tout en gardant une légèreté aérienne. Au fil des années, l’artiste s’est aguerrie de son expérience de scène ainsi que de la sortie de deux EP en 2013 et 2015. Amelie a sorti son 1er album “The Stranger”, le 11 janvier 2019. Celui-ci allie avec finesse une voix rappelant celle de Dolores O’Riordan des Cranberries et une sensibilité musicale proche de celle du groupe indie-folk Daughter. Dix compositions vivifiantes dont vous ne pourrez plus vous passer!… « Page 1 Page 2 … Page 4 Page 5 Page 6 Page 7 Page 8 … Page 15 Page 16 »