FRANCK FLOWER
indie rock / Nancy
Téléphone artistes: 0680639306
Courriel artistes: untrucbizarre.fredw@gmail.com
Site internet: www.fredw.fr
Dans un style éclectique et varié Fako Smoz nous emmène dans son univers aux teintes reggae, ska, pop, rock.
Une invitation au voyage intemporel et musical à travers ce 2ème opus “Time Lapse”. Album disponible au format vinyl sur le site bandcamp
En effet, originaires du pays des 3 frontières, plus précisément de la ferme Tockfeld, 3 frères décidèrent, lors de cette soirée de composer leurs propres morceaux Pop-Rock. Au début, on retrouvait la fratrie : Gilles à la batterie, Denis à la basse, Olivier au chant/guitare et Robert guitariste/soliste, un ami proche de la famille.
L’inspiration était alors vraiment Rock/Blues. Puis en 2009, Max succéda à Robert et nous apporta de nouveaux morceaux, de nouveaux arrangements et une approche différente sur nos compos. Nous évoluâmes alors pendant 7 années sur des rythmes pop plus mélodiques. Malheureusement, les départs successifs de Gilles en 2012 et Max en 2016 chahutèrent quelque peu l’équilibre du groupe. En effet, Gilles fût remplacé tout d’abord par le jeune Baptiste puis par Anthony en 2016.
Ce dernier, fraîchement arrivé et ultra motivé, contribua fortement à la reconstruction et à la renaissance du groupe en proposant d’agrandir notre sphère. Ainsi les venues de Loïc (guitare) et de Florent (chant) vinrent sceller la refonte de la formation.
De répétions en répétitions, de partages en partages, d’émotions en émotions, de couacs en couacs, ce groupe trouva enfin une vraie identité et un vrai nom « FLOAD ». En venant nous voir sur scène, vous rencontrerez 5 gars ordinaires, sympathiques qui donneront tout pour vous plonger dans leur univers.
Un rayon multicolore s’écoule dans un living room glacial. Trois garçons lunatiques, flanqués d’instruments d’un autre temps, s’arrêtent pour sentir le parfum des fleurs. Tout à coup, les lumières s’éteignent.Choc.Cinétique.Franck navigue entre les plis, réanimant la sainte carcasse depuis longtemps endormie. Mouvement infini d’une vraie-fausse nostalgie.Franck ! Flower ! Réveillons les guitares.
Florent est un artiste qui a décidé de se lancer dans la musique.
Il a toujours aimé le milieu artistique, il a fait de la photographie, de la couture, du théâtre au cours Florent, ainsi que du piano.
Il a toujours aimer la musique et le cinéma, aujourd’hui Florent ce lance avec un premier single déjà disponible sur les plateformes d’écoute en ligne, son single s’intitule : s’Échapper, au son Pop Française, composer par l’artiste Brice Conrad.
Florent a un EP en projet pour 2020 ainsi qu’un clip
Feu Follet est un projet influencé par le post-punk, la synthwave, la coldwave ou encore le shoegaze.
Un premier EP est disponible sur Bandcamp et un album va bientôt suivre
Auteur compositeur interprète, Fred’W se fait progressivement un nom et creuse son sillon dans la chanson.
Accompagné de Charles Pierre à la guitare et Sébastien Gérardin à la batterie, Christian Mangel à l’accordéon dans la formule quatuor, cet inconditionnel de la chanson à texte met en musique ses mots sensibles et ciselés, mêlant poésie et réalisme, parlant de vos vies, de la sienne…
L’écriture, chez lui, c’est une seconde nature, spontanée et affranchie.
Son inspiration et ses maîtres, de Renaud à Brassens en passant par Springsteen, l’ont conduit sur un parcours musical dès ses 16 ans pour composer en parfait autodidacte, et se promener de festivals en « chansons à domicile ».
Un 1er album sorti 2015 « Un truc bizarre » et un 2ème à venir très prochainement…
un talent à découvrir !
De la formule duo au quintette
A partir de 350 euros, techniquement autonome
Selon ses propres auteurs, la musique de Feu Robertson est “bancale, mélancolique, abrasive”. Ils qualifient eux-mêmes leur musique de “hipnoise ou de freeppy”.
Du post-rock sauvage, des valses enchantées, de l’anti-folk aux crépitements sourds, du Krautrock décadent, de la noise délicate… Sadcore, slowcore ? Un truc primitif et dandy, apaisé et bruitiste, psyché et indie, lo-fi et gipsy ; un savant mélange personnel.
On est ici loin des clichés car le groupe ne succombe pas aux effets de mode. Prenez Will Oldham et demandez aux Spacemen 3 d’arranger les morceaux avec The Supreme Dicks, et vous serez assez proche de ce que Feu Robertson peut produire en terme d’ambiance ou d’harmonie aussi râpeuses que dissonantes, comme si l’effervescence du Plastic Ono Band se frottait à Syd Barrett et Neutral Milk Hotel.
Et il ne s’agit pas ici de faire recette d’un énième “name dropping”, mais juste de rendre la boulimie de musique qui agite Feu Robertson et son inclassable alchimie, proche d’un Dirty Three à la sauce Low ascendant Krafwerk.
S’il y a du folk (lié notamment au songwriting des morceaux), il faut reconnaître que celui-ci est teinté d’Apocalypse. Fragile, désorientée, la musique de Feu Robertson est celle d’un vagabond qui aurait rencontré une bande d’allumés pour former son orchestre idéal afin de bâtir une musique aussi solaire que transcendante, dont le Velvet underground ou The Doors restent encore aujourd’hui les maître à penser.
Portés par des mélodies envoutantes et des climax angéliques, puissants ou écorchés, leurs morceaux tiennent du rock souffreteux autant que classieux (on pense à Hood ou Movietone).
A écouter leurs arrangements, aussi noise que lyriques, on ne peut s’empêcher de penser au Brian Jonstown Massacre ou à Pavement, en plus introverti peut être, à l’image du premier album fondateur de Tindersticks ou de Migala.
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