Quintet jazz oriental. Composition: ibrahim sulaimany. La formation est composée d’Eric Varache à la batterie, de Bassel Kayssieh au luth arab , Teddy Moire à la contrebasse et Damien Hennicker au sax ténor et soprano.
Ibrahim Sulaimany est un compositeur et guitariste syrien arrivé en France en Janvier 2015. Après presque 20 ans de carrière dans la musique, la guerre en Syrie lui a tout pris, sauf l’envie de résister et de continuer à faire vivre sa musique. C’est pourquoi il a imaginé un nouveau projet de Jazz Oriental, reflétant ses sentiments : la nostalgie, la souffrance de l’immigration forcée, les bruits de la guerre mais aussi les bons souvenirs de sa maison à Damas. Pour se faire, il fusionne l’héritage musical du folklore syrien et les harmonies du jazz moderne dans de nouvelles compositions, écrites depuis son arrivé en France. Le répertoire ainsi élaboré est mis ensuite entre les mains des musiciens de son groupe : Bassel Kayssieh au oud, ami d’origine syrienne, qui apporte la touche orientale par la sonorité de son instrument, Teddy Moire à la contrebasse, Eric Varache à la batterie et Damien Hennicker au sax ténor et soprano, trois musiciens très éclectiques qui, par leur enthousiasme à adopter le projet et leur solide expérience, y ont apporté leurs propres influences musicales. Le groupe vous emmènera dans un voyage musical exotique riche en émotions, entre sonorités acoustiques et électriques, tension et apaisement.
2 Rue Alexandre du Sommerard Troyes 10000 France
Somah est un groupe de Metal formé en 2016 basé dans les Ardennes et se compose de Romain Chartogne (chant/guitare), Manuel Dias (basse) et Yohan Meunier (batterie). Les thèmes abordés sont plutôt sombres et sont influencés par notre société actuelle : “Le monde n’est pas noir, le monde n’est pas blanc… Le monde est gris ! Essayer de remettre des couleurs dans ce merdier est une lutte de tous les jours…” Fin 2016, un an après sa formation, le trio décide d’enregistrer une démo de façon « homemade ». Les morceaux enregistrés capturent bien l’état d’esprit de Somah, à savoir une approche rentre dedans et efficace mais qui n’oublie pas la mélodie et qui ne cherche pas à s’imposer de limites de genre. 2017 marque l’arrivé de Somah sur scène avec plusieurs dates en Champagne-Ardenne, la participation au festival Hard And Fest (08) et au Tremplin MetalAnimals Fest III (51), … Somah continuera sur sa lancée en 2018 et partageront l’affiche avec FALLCIE (RUS) et auront l’honneur de faire l’ouverture pour DAGOBA (Fr) et CROWBAR (USA) au Forum de Charleville-Mézières. C’est en l’occurrence cette ouverture qui permettra au groupe d’enregistrer en 2019 leur 1er EP au Studio Sapristi ! , qu’ils auront le plaisir de défendre sur une série de date en France et Belgique au coté de Blind Ivy (RUS), Lifers (Be), LOFOFORA (Fr), …
16 Rue Dietterlin Strasbourg 67100 France
Résolument défricheur, la Falaise est un label sans étiquette qui cultive une certaine authenticité et privilégie les coups de cœur. Pour preuve, son catalogue éclectique réunissant des projets oscillant entre douceur pop, échappées synthétiques, post- punk abrasif et folk métissée avec pour dénominateur commun un goût prononcé pour le fait maison et le mélange des genres. Ce nouvel acteur de la scène spinalienne entend bien élargir le paysage musical du Grand Est et y faire souffler un vent inédit.
JULIEN BOUCHARD DAALE 2PANHEADS KA PEE JE CIRCUIT COURT
Combinez un goût prononcé pour le groove, un autre pour l’electro à la French Touch, laissez mijoter le tout dans un 20 mètres carrés, et vous obtiendrez OKAY CACTUS. Après la sortie du premier EP « In Love With You » en 2018, le projet solo s’agrandit sur scène sous la forme d’un quatuor explosif depuis début 2019. (n’oubliez pas d’arroser le cactus toutes les semaines)
Strasbourg 67000 France
Prestataire de services : Production et administration de concert & festival, Administration générale, montage de dossier de subvention, soutien à la communication, label management, édition (contractualisation, suivi, gestion)…
Guil’s Records forme, coache et accompagne les musiciens, les artistes indépendants pour le développement de leur projet musical et leur fanbase (ou audience). Son organisme de formation est certifié QUALIOPI (certification Qualité).
Guil’s Records, se sont aussi des services sur demande : campagne pub sur Youtube, Facebook, Spotify ; conception d’une landing page ou page de capture ; rétroplanning et stratégie de sortie etc. et des Ateliers auprès de SMACS, MJC, écoles artistiques.
Je propose des formations (dont certaines éligibles CPF ou finançables via votre OPCO) :
1179 rue du bois le prêtre Pont à Mousson Bas-Rhin 54700 France
Tous les jours, Radio en Construction ouvre son antenne à 14h00 (*) par “Transmission” de Joy Division. “Radio, live transmission…”, trois mots qui se réinventent à chaque fois qu’ils se posent sur le cordage de basse, sorte de Pont de Singe reliant l’émotion à l’urgence, par delà le précipice de l’indigence quotidienne… trois mots poussés hors de la gorge par une batterie sèche et lourde, cœur et poumon, larme et colère… trois mots qui, à chaque écoute, viennent s’enrouler dans cet ésotérique treillis de guitare barbelé, beauté acier et tranchant électrique…quelque chose comme le rock’n’roll…quelque chose comme un rock’n’roll, déjà vieux de 20 ans à l’époque et brandi par un quarteron d’artistes prolos nés après lui, magnifique tentative de s’approprier le monde comme s’il restait à inventer, dérisoire tentation d’atteindre un nécessaire absolu. Tous les jours, un même frisson électrise l’antenne de Radio En Construction, nous ramenant, sans discussion possible à ce que notre aventure peut avoir de fondamental… car derrière cette musique – fondamentale, on en a parlé -, résonne également l’écho de Factory, fondamentale tentative de construire, parce que le Punk l’avait permis, des moyens de production, diffusion, propagation qui soient le prolongement des artistes qui les empruntaient.
Alors, peut nous chaud le débat sur l’alternatif, sur la main mise du grand capital sur la musique (comme disait Martin Lamotte dans Papy fait de la Résistance “mais, mamina, ce n’est pas une colonie de vacances, ce sont les armées du Reich !!!!!”), car dès lors que la subversion a besoin d’un près carré pour s’exprimer, en quoi est-elle subversive ? Si nous ne sommes pas capables de créer notre espace dans les systèmes (commercial, administratif…) qui nous sont imposés, si nous ne sommes pas capables de les parasiter, de nous en affranchir en nous attachant au fondement même des idées que nous proposons, si nous ne sommes pas capables de renverser les valeurs imposées, alors pourquoi continuer ?
Radio En Construction s’essaye à se réinventer en permanence, et à constituer l’espace d’une certaine radicalité, d’une forme de subversion par l’exposition. Notre programme, que nous définissons comme un Cabinet Radiophonique de Curiosité, s’efforce d’exposer, dans une organisation dont le paramètre prédominant est l’esthétique, de petits modules de percussion de l’individu (le fameux auditeur). Ces modules, petites vitrines de musique ou de parole (celle des autres, nous ne parlons jamais nous même à l’antenne), sont à la disposition de nos auditeurs – considérés non comme une masse mais comme une multitude (aussi lilliputienne soit-elle) d’individus.
Vous me direz : et le rock dans tout cela?
… parce que Radio En Construction a choisi de transmettre, de relayer, d’interroger une série de formes musicales qui mettent en forme un rapport autodidacte à l’émotion, formulent en temps réel un panel de réactions à l’époque, interrogent l’individu tout en osant s’adresser au plus grand nombre ; pour cela, nous revendiquons le terme rock. Nous le revendiquons au moment même où il est sans doutes le plus galvaudé, récupéré par ce dont il affirmait s’affranchir, ronronnant dans la bouche de ceux dont il refusait le monde. Nous revendiquons son essence, pas sa forme ; nous revendiquons son sens premier, pas sa culture ; nous revendiquons ses vertiges, pas son système.
Pas de leçon derrière ces propos mais l’envie de vous dire les fondations de notre chantier.
BP 80124 Strasbourg 67069 France
TreeKong, référence dans la musique festive. Une valeur sure pour rendre les soirées explosives. 1 section cuivre surpuissante soutenue d’une rythmique diabolique transcende les textes des 2 chanteurs Depuis 2004, toujours présent et pour longtemps, Treekong fait vivre ses personnages inspirés des rencontres dans les festivals, les bars et autres concerts ! A fond du début à la fin, vous n’en ressortirez pas indemne. Essoufflé, heureux, plein de cette énergie communicative. D’où viennent-ils ? Peu importe, ce sont les meilleurs ! On sait juste qu’ils répètent à Reims…
MUSIQUES EN BALADE est une structure de management, production et diffusion consacrée aux musiques du monde depuis 1986, fondée en région parisienne puis implantée à Strasbourg depuis 2009. Après avoir collaboré avec divers artistes, elle consacre son activité aujourd’hui à produire et diffuser les créations du compositeur-interprète Fawzy Al‑Aiedy dont son nouveau groupe Ishtar Connection. Elle participe à la construction du pont Orient Occident à travers la créativité et la rencontre avec les publics de tous âges. Actrice de la diversité culturelle, l’exigence artistique et la sensibilisation des publics aux musiques du monde fondent sa démarche. Musiques en balade bénéficie de l’aide à la diffusion du Conseil Régional Grand Est, d’un conventionnement de la Ville de Strasbourg (2014-2016 puis 2017-2019), des aides ponctuelles des Sociétés Civiles (création, diffusion etc) : SPEDIDAM, ADAMI, SACEM, CNV.
c/o La Fabrique de Théâtre 10, rue du Hohwald STRASBOURG 67000
Né à Basrah (Irak), Fawzy Al-Aiedy étudie à l’Institut de Musique de Bagdad la musique traditionnelle orientale (chant et oud) ainsi que la musique occidentale (hautbois classique). Installé à Paris, il obtient un 1er prix de hautbois. Ses connaissances des musiques orientales et occidentales l’on affranchi des règles pour mener sa propre quête artistique. Il garde intacts en lui les parfums de son pays, riche de plusieurs siècles de civilisation, qu’il distille à fleur de mélodie. Il chante la poésie mêlant à sa voix la musique populaire et savante, orale et écrite. Il y a chez lui, cette curiosité, cet appel au voyage. L’exil devient source de création. Après avoir été l’un des précurseurs de la World-Music orientale dans les années 1980 puis de L’Oriental jazz en 1989, il célèbre Bagdad et consolide le pont Orient-Occident à travers une quinzaine de créations et une douzaine d’albums. Aimant se confronter sans cesse à d’autres styles musicaux, il ouvre avec Ishtar Connection une nouvelle page dans sa démarche créatrice en mêlant ses notes et rythmes orientaux à la musique électronique. …”Il est l’un de ces artistes qui sont des points de passage entre l’Orient et l’Occident, l’un de ces modestes et talentueux artisans de la paix” (Mondomix).
c/o La Fabrique de Théâtre 10, rue du Hohwald STRASBOURG 67000 FRANCE
22 ans en 2019 et déjà plusieurs EP au compteur pour ce jeune espoir rap français dont les vidéos cumulent plusieurs centaines de milliers de vues ! Ce phénomène originaire de Thionville à la productivité boulimique trace une route solide sur des instrus modernes entre trap et rap digital, auto-tune à la musicalité maligne et textes à la lucidité déconcertante
Dégage, c’est un projet tout neuf à l’acidité rêveuse saupoudré de pop des plages sucré-salé. C’est vaste et passionné, un appel à dégager hors les murs, hors de soi, une vibration fiévreuse et intense. Le produit enthousiasment des amitiés fortes, soudées, attachantes de ces quatre jeunes musiciens rémois, compositeurs inspirés qui à travers leur travail, leur rires et leur voyages émotionnels, “Dégage” de l’énergie, de la poésie, de la rêverie, de la douleur et de la tendresse aussi.
Dirty Raven est un power trio Rock français, originaire de Reims (Marne). A travers une batterie puissante et efficace, une basse amoureuse de la distorsion et du son fuzzzz, une guitare tout aussi fuzzz, grasse et lourde, le tout propulsé par un chant tantôt pop, tantôt rock puissant. Dirty Raven lie diverses influences, du post-grunge au métal en passant par le rock’n’roll ou encore le rockabilly, pour donner un esprit totalement stoner.
Bercé par la musique dès sa plus tendre enfance, Pire Mastaa découvre le rap à 10ans, grâce aux cassettes faites par les grands frères de ses amis, destinées à leur faire découvrir le «vrai son». La dépendance fût immédiate et, 6ans plus tard, ennui et stagnation en bas des HLM du quartier Chalet-Tunisie à Reims poussèrent le jeune traînard à devenir jeune MC… Le manque de moyens, de connaissances et de contacts fût d’abord un frein avant de se révéler moteur pour la création: beatmaking et techniques de prise & traitement du son s’ajoutent au jeu du rappeur rémois. Les influences, allant de la scène East Coast (New York, Philadelphie…) à la scène Sud-américaine (Memphis), donnent une pratique sombre et incisive tant à l’écriture, à la performance qu’à la production. Distribution de prods, de couplets, multiplication de collaborations ainsi qu’une présence à tous les évènements hip-hop de la Cité des Sacres pendant 8 années serviront de peaufinement de la discipline avant de se lancer en solo. Désormais, Pire Mastaa fait partie intégrante de la musique rap de sa ville… voir de sa région. La suite du programme ? Prendre tout ce qu’il y a prendre. Rien que ça.
A l’origine, le groupe s’appelait « Sightless Vision » et répétait dans un garage du centre ville de Reims, aménagé en studio. Les compositions de l’époque étaient principalement influencées par les mouvements Thrash metal et Death metal des années 90. En 2005, après un virage musical et quelques membres perdus en cours de route, le groupe choisit de changer de nom pour le simplifier en « Sightless ». Les guitares sont baissées d’un ton, les riffs deviennent plus incisifs et le chant plus agressif. Désormais, le groupe cherche une dynamique dans ses compositions et ne se pose plus de limites. Aujourd’hui Sightless est un mélange de Groove metal et de Hardcore, mais conserve les notes Thrash et Death metal de ses débuts.
Underdog Effect, c’est le fruit de la talentueuse désinvolture de 4 rémois affichants à peine plus de 20 printemps. Influencés par la rencontre toute british d’un rock gouailleur et de refrains pop, Underdog Effect trace sa voie entre les accords de King Krule et l’énergie éclectique de Sticky Fingers. D’un combo à priori classique le quatuor joue l’effet de surprise en parfait outsider – comme leur nom l’indique – et la voix de Riwan n’y est pas étrangère. Underdog Effect incarne sans artifice ses compositions, de manière particulièrement efficace en live !
Le groupe Side Effect existe depuis 5 ans. Durant ce temps, les trois membres ont appris a partager leurs musiques et leurs influences. Ils ont ainsi développé leur style. Leurs influences tournent autour des Red Hot Chili Peppers et de Muse, Skip The Use ou encore Shaka Ponk, Black keys…Des bons accords, un thème et du groove. Nous vous produisons régulièrement sur les scenes rémoises et parisiennes. On espère vous croiser pendant un live. Rock And Roll !!!!!