Appel à projets pour le Fonds franco-québécois pour la coopération décentralisée 2015-2016

65e session de la CPCFQ – BIENNUM 2015-2016

Le Fonds franco-québécois pour la coopération décentralisée (FFQCD) s’inscrit dans le cadre de la Commission permanente de coopération franco-québécoise (CPCFQ), sous la responsabilité du ministère des Relations internationales et de la Francophonie (MRIF) et du Consulat général de France (CGF) à Québec.

Créé en 2005, pour donner suite à la volonté des premiers ministres de la France et du Québec d’encourager le développement et le rayonnement des collectivités locales et territoriales en France et au Québec, le FFQCD soutient des projets de coopération novateurs d’intérêt commun issus de ces collectivités. Celles-ci et leurs partenaires sur le terrain s’engagent à fournir un financement au moins égal au montant de la subvention demandée.

Afin de soutenir la réalisation de ces projets de coopération, le FFQCD appuie surtout la mobilité internationale des participants à ces projets.

Le FFQCD s’adresse aux personnes morales sans but lucratif telles que des institutions ou entités locales, municipales ou régionales, à des organismes sans but lucratif, aux organismes culturels, aux coopératives, aux fédérations et associations et à des institutions publiques non affiliées au gouvernement fédéral.

Les deux équipes doivent impérativement associer :

  • du côté québécois, une ou plusieurs institutions, organismes, entités locales, municipales ou régionales;
  • du côté français, une ou plusieurs collectivités territoriales.

Période de l’appel de projets : du 4 avril au 28 septembre 2014 (23 h 59)

Les résultats seront dévoilés au cours du printemps 2015

Document d’instructions

Formulaires à transmettre

Autres documents à transmettre

  • Curriculum vitae du coordonnateurde projet québécois
  • Document présentant l’expérience professionnelle du coordonnateur de projet français
  • Pour la partie française : au moins une lettre d’intention d’une collectivité territoriale partenaire qui atteste le financement de contrepartie de la part des collectivités territoriales, au moins égal au montant de la subvention demandée.
  • Pour la partie québécoise : au moins une lettre d’appui signée par une Conférence régionale des élus (CRÉ).